10.7.14

La liberté de se marier n'est pas la liberté de baptiser "mariage" n'importe quoi

Lu sur le blog de monsieur Daoudal:

« Mais le Conseil d’Etat considère que le refus de visa est « une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté fondamentale de se marier ».

Le Conseil d'État ne fait qu'appliquer la "loi" sur le "mariage" homosexuel et prétendument le droit universel de se marier. Mais le "Conseil d'État" ne remarque pas que la loi n'est pas n'importe quel texte revêtu des formes de la loi et que la "loi" ne peut violer les droits à la vérité du mariage. Il suit l'opinion de Louis XV, mais cette opinion est mauvaise, scandaleuse.

Donc, il viole l'article 30 de la Déclaration universelle des droits de l'homme qui dispose que personne ne peut utiliser cette Déclaration du 10 décembre 1948 pour violer cette déclaration (comme l'article 17 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales).

Or l'affirmation des droits universels et opposable de l'homme présuppose nécessairement un droit à la vérité du langage (car sinon, il n'y a pas de droits universels de l'homme, mais le chaos). Quand on dit "mariage" on désigne l'union stable et publique de deux personnes humaines de sexes différents.

Il ne peut donc y avoir qu'un droit opposable au mariage et pas de "droit au « mariage » homosexuel. C'est une vérité métaphysique et par conséquent juridique. Ceux qui font semblant d'ignorer cette vérité universelle sont des criminels.

Aucun juge ne peut s'excuser de ce crime en prétendant: "ce sont les ordres." ou "C'est écrit dans la loi."

Luttons pour l'établissement d'un ordre nouveau fondé sur les authentiques droits universels de l'homme à la vérité et à la justice. J'ai démontré sur ce blog que le prétendu "mariage homosexuel" est une atroce injustice, y compris financière.

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