22.8.14

Rafle du Vel d'hiv: diffamer la France

L'affaire de la rafle du Vel' d'Hiv fait l'objet d'une intense exploitation contre la France, mais l'accusation contre la France est mensongère

Voici ce qu'on peut lire alors que les archives s'ouvrent (via François Desouche) :

«Pour éviter les fuites, les policiers réquisitionnés pour la rafle n'ont été prévenus que la veille. Les équipes étaient composées de deux policiers qui ne se connaissaient pas et étaient systématiquement accompagnés d'un soldat allemand», souligne la commissaire Françoise Gicquel. Malgré tout, des familles ont pu être averties. Comme le prouve une lettre du 16 juillet, 8 heures, qui note que l'opération se trouve ralentie car «beaucoup d'hommes ont quitté leur domicile hier».

On dit, oui mais si les petits ont été contraints, la hiérarchie a "collaboré". Mais on oublie de préciser que la France avait perdu sa liberté et qu'elle ne collaborait pas par volonté enthousiaste mais par absolue nécessité.

Non seulement la police française ne participa pas volontairement, mais fut contrainte de participer par surprise, mais encore il faudrait quand même reparler des chambres à gaz et des bombardements. Et savoir ce qui a causé le plus de morts des chambres à gaz ou des bombardements sur l’Allemagne.

Curieux que pour le crime le plus criminel des crimes les plus infiniment criminels il n’y ait jamais eu de reconstitution, pas une seule reconstitution. Il faudrait enfin procéder à une reconstitution du crime des crimes: les chambres à gaz homicide provoquant la mort de milliers d'hommes et enfants en un instant et leur fonctionnement.

Ceux qui, sans preuve, accusent la France de génocide diffament les Français et à ce titre devraient être poursuivis et condamnés à la prison dans un État de droit soucieux de l’honneur de la France. Nous sommes gouvernés par des traitres.

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