15.1.15

Paternité aliénée par la mère

« Cardinal Burke: Je félicite beaucoup votre démarche de la Nouvelle Evangelisation des Hommes (New Emangelization). Elle est essentielle à la nouvelle Evangélisation en général. Lorsque le gouvernement français a unilatéralement imposé le soi-disant mariage du même sexe, qui n'est évidemment pas du tout un mariage, il a fait sortir dans la rue deux millions de personnes se ralliant derrière la simple image de pères et mères tenant leurs enfants par la main. Les pères sont essentiels à la famille.
Les hommes doivent réfléchir à leur propre expérience, même si elle est négative. Si un père a été absent dans leur vies, les hommes doivent comprendre ce dont ils avaient besoin dans un père et une mère. Pères et mères sont des dons merveilleux que Dieu nous a donnés. »

Certaines femmes maltraitantes (un de mes précédent posts sur la question) coupent les enfants de leurs pères en diffamant les pères auprès des enfant communs. C'est l'aliénation parentale (lien vers d'ancien posts sur la question). Abusant de leur influence sur les enfants, elles bradent la paternité en l'anéantissant ou en la confiant à un autre que le père.

D'autre part, nous assistons à une féminisation quasi-totale de certaines professions. Les hommes en disparaissent. C'est souvent le cas lorsque le chef est une femme.

Je prédis que si les filles accèdent au service de l'autel comme cela se pratique déjà sous l'influence de la Rome irrespectueuse des droits culturels des nations, on arrivera à une féminisation totale du service de l'autel dans certaines paroisses, voire dans certains diocèses.

Ces pratiques sont d'ailleurs en contradiction avec ce qu'enseigne saint Paul dans sa première lettre au Corinthiens:

« I Cor 14,34. Que les femmes se taisent dans les églises, car il ne leur est pas permis de parler; mais qu'elles soient soumises, comme le dit aussi la loi.
I Cor 14,35. Si elles veulent s'instruire sur quelque chose, qu'elles interrogent leurs maris à la maison; car il est honteux pour une femme de parler dans l'église. »

Si elles doivent se taire, il n'est pas bon qu'elles se fassent remarquer non plus.

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